Actualités 2017

 

 

 

 

 

 

 

 

 

12/12/17

« On entend pas assez Le Boulanger au-delà de la Bretagne »…

A l’occasion d’une conférence autour du manifeste de la diversité de notre collègue Jean Michel Le Boulanger, préfacé par Edwy Plenel, Ouest-France publie une longue interview de ce dernier.
En voici un extrait, vous pouvez retrouvez le lien de l’article entier ici : https://www.ouest-france.fr/bretagne/guingamp-22200/edwy-plenel-cette-parole-nous-reconcilie-avec-notre-diversite-5439879

 

Depuis un an bientôt, dans divers endroits en Bretagne, vous avez déjà proposé ce manifeste pour la diversité : que retenez-vous ces rencontres ?

Je retiens surtout un immense regret qui ne concerne pas la Bretagne, encore moins Jean-Michel Le Boulanger. Je pense que son manifeste est très probablement le texte le plus fort, le plus élevé, le plus ample, qui ait été écrit ces dernières années sur notre France commune, sur notre République commune. Mon regret, c’est qu’on n’entende pas Jean-Michel Le Boulanger plus au-delà de la Bretagne. Mon regret est que ce qu’il dit ne donne pas lieu à des conférences partout dans l’Hexagone. Car cette parole qu’il porte est celle que nous avons tous envie d’entendre. Celle qui nous réconcilie avec notre diversité. J’aimerais que les municipalités de Seine-Saint-Denis, invitent Jean-Michel Le Boulanger… Qu’on l’entende dans les zones dépeuplées du Centre de la France, à Marseille, Lyon, le Nord, le Sud, l’Est… C’est ce qui pourrait réenchanter la politique comme bien commun.

Vous avez des racines bretonnes…

Je suis né à Nantes, je suis donc de ceux qui pensent que Nantes pourrait faire partie de la grande région bretonne. Je suis issu d’une mère et d’un père bretons. Mon père est né à Lannion, il a grandi à Rennes. La famille de ma mère était plutôt à Nantes mais elle a beaucoup de racines dans le Morbihan. Voilà, je suis issu d’une histoire bretonne. Mais comme je le dis souvent : je suis un breton d’Outre-Mer car j’ai grandi hors de France jusqu’à l’âge de 18 ans.

                  Mona Bras, aux côtés de Edwy Plenel

 

6/12/17

Commission permanente: le partenariat entre la Région Bretagne et le Pays de Guingamp passe aussi par la politique de l’ eau:

12/12/17
Commission permanente: rénovation de l’ IUT de Lannion.

 

Soutien au Centre culturel breton de Guingamp

 

31/04/17
Plusieurs financements pour le pays de Guingamp votés en commission permanente

 

23/03/17
500 000 euros pour le pays de Guingamp votés en commission permanente

 

 

 

 

26/09/17

PROJET DE RESTAURATION DE L’ ANCIENNE PRISON

Dans le cadre de classes et cours décentralisés, les étudiants en 1° année de BTS agencement du lycée Freyssinet de Saint-Brieuc, accompagnés de leur professeur principal  Laurent Gerbouin ainsi que de quatre autres enseignants, travaillent toute la semaine avec l’ association d’ art visuel Gwin Zegal et un designer sur le projet de restauration de la prison de Guingamp, essentiellement la partie muséale. Avec l’ accord de l’ Architecte des Bâtiments de France, bien entendu.

Cela constitue un beau projet à cheval entre patrimoine, histoire, mémoire carcérale, jeunesse, culture et formation professionnelle.

Les étudiants, leurs professeurs, des membres de l’ association Gwin Zegal, un designer, et la Conseillère régionale Mona Bras.

 

 

14/09/17

GUINGAMP-PAIMPOL-ARMOR-ARGOAT AGGLOMERATION SIGNE LA CHARTE YA D’ AR BREZHONEG!

Ce mercredi, Vincent Le Meaux, Président de Guingamp-Paimpol-Armor-Argoat Agglomération, a signé la charte Ya d’ ar Brezhoneg, en compagnie de Lena Louarn, Présidente de l’ Office public de la langue bretonne et Vice-Présidente de la Région en charge des Langues de Bretagne. Mona Bras, élue de Guingamp et conseillère régionale membre du Groupe des Régionalistes, était également présente.

Vincent Le Meaux et Lena Louarn, lors de la signature

 

Lena Louarn et Mona Bras

 

 

 

20/08/2017

LE DEFILE DE LA SAINT-LOUP AFFICHE LA REUNIFICATION

Mona Bras (ici aux côtés du Député Yannick Kerlogod, et de Rozenn Leroy, présidente de Kendalc’h) a pris part au défilé de la Saint-Loup, dimanche 20 août, à Guingamp, où elle affichait son soutien à la réunification de la Loire-Atlantique avec la Bretagne.

 

 

09/06/17

Entremont-Guingamp : 2ème jour de blocus

Les actions des agriculteurs risquent de se durcir et de se propager si rien n’est fait.

Mona BRAS était encore présente le mercredi 7 juin en soirée et jusqu’à presque minuit auprès des 200 producteurs de lait mobilisés pour bloquer la laiterie Entremont de Guingamp qui fait partie du groupe Sodiaal. En effet, c’est vers 21h que Damien Lacombe et Jean-Paul Prigent, présidents national et régional de la Sodiaal arrivaient pour échanger avec les producteurs de lait de leur coopérative, ces derniers demandant 0,34€ par litre de lait car les 0,31€ consentis par la Sodiaal ne couvrent pas leurs frais de production et ne leur permettent de dégager que 350€ de revenus mensuels en moyenne. Les deux présidents ont annoncé des augmentations à 0,32€ pour juillet et à 0,33€ pour aout et septembre prochain, propositions loin de satisfaire les agriculteurs en colère. Les producteurs réclament  de la cohérence : puisque les parts sociales leurs sont prélevées sur le montant de 0,35€ le litre, que ce prix leur soit réellement payé. Échanges de sourds entre les responsables de la coopératives d’un côté et de l’autre les manifestants et responsables syndicaux, ces derniers décidant par un vote à mains levées de suspendre le blocus ce mercredi à minuit, mais de le reprendre dès mardi prochain,  de le durcir et de le généraliser au niveau breton voire hexagonal si d’ici lundi aucune proposition sérieuse n’est faite aux producteurs qui voient leurs nombres diminuer à chaque crise, ces drames économiques se doublant souvent de drames humains.

Rarement la déconnexion n’aura été aussi forte entre les prix agricoles et les prix alimentaires.                                                                                                                                                                     La pression des distributeurs sur les industriels pour obtenir les tarifs les plus bas perturbe l’ensemble de la chaîne. Les fournisseurs doivent souvent céder aux injonctions des hypermarchés, via des pratiques abusives.  Et le scénario est connu d’avance : à la fin, se sont toujours les producteurs qui  paient l’addition !  Ainsi, l’édition du 16 mai 2017 de Ouest-France publie dans ses pages d’annonces légales des Côtes d’Armor  la liquidation judiciaire de 5 exploitations laitières et la mise en redressement d’une sixième sur un secteur de ce seul département breton.  Entre 2000 et 2010, le nombre des exploitations laitières  de Bretagne a baissé de 37% et le quota laitier moyen par exploitation a progressé de deux tiers : dans les bassins laitiers de plaine à forte densité, dont la Bretagne,  le taux de remplacement des départs se situe à un  niveau perfectible :  1 installation pour près de 4 départs aujourd’hui. Malgré les efforts de la SBAFER pour l’installation des jeunes et la transmission, la tendance reste malheureusement à la concentration des exploitations et donc à la désertification du monde rural.  Ainsi, dans l’Ouest de la France, si le nombre d’exploitations a reculé de 36% en 10 ans (24.482),  la taille moyenne des troupeaux a progressé de 48 % (52 vaches) et l’augmentation moyenne des quotas par exploitation atteint 66% (492.000 litres).

Comment en est-on arrivé là ?

Tous les ans, de novembre à février, les deux parties discutent des prix pour les douze mois à venir. Prix que les six grands groupes distributeurs français (Auchan, Carrefour, Casino, Cora, Intermarché et Leclerc) veulent les plus bas possible et auxquels les fabricants tentent de résister. Cette partie de bras de fer se joue depuis la «loi de modernisation de l’économie» (LME) du 4 août 2008 qui visait entre autres à «dynamiser la concurrence», pour que les consommateurs bénéficient de prix plus bas.

 

Pour éviter les abus, la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) surveille la partie et sort son sifflet quand elle estime que des pressions excessives sont avérées de la part des distributeurs envers leurs fournisseurs. Début novembre 2016, le ministère de l’Economie  annonçait  avoir assigné Carrefour devant le tribunal de commerce de Paris pour «pratiques commerciales abusives» dans les négociations 2015-2016. Cette poursuite intervenant après la perquisition du siège social de Carrefour en février pendant vingt-quatre heures par la DGCCRF. Le groupe est notamment poursuivi pour avoir «exigé de ses fournisseurs, sans aucune contrepartie, une remise complémentaire de distribution d’un montant significatif  en préalable à l’ouverture des négociations commerciales annuelles». L’amende pourrait se monter à 5 millions d’euros. Bercy a aussi déclaré que «plusieurs autres enseignes» étaient dans son viseur et pourraient faire l’objet de poursuites similaires.

En juin 2016, la cour d’appel de Paris a confirmé un jugement condamnant le groupement Système U à rembourser 77 millions d’euros à quatre fournisseurs. En 2015, la centrale d’achat de Leclerc avait été condamnée à une amende civile de 2 millions et à rembourser 61,3 millions à 46 sociétés. Les amendes peuvent aller jusqu’à 5 % du chiffre d’affaires annuel.

 

Avant 2008, la loi Galland visait à protéger les petits distributeurs et les fournisseurs en interdisant aux hypermarchés de répercuter dans les prix de vente aux consommateurs la totalité des ristournes et des rémunérations qu’ils recevaient des industriels. A l’exception des consommateurs, toute la chaîne y trouvait son compte. Ce sont les années où nous nous sommes bien portés car les prix étaient plus élevés, reconnaissent les distributeurs de la GMS.

un producteur de lait en colère qui remet aux deux président national et régional de la Sodiaal le diplôme du plus mauvais payeur…

 

Aujourd’hui, avec la LME, la guerre des tarifs fait rage. Toutes les enseignes s’épient et  regardent à la loupe les prix pratiqués par les concurrents, voire l’absence de produits et marque par mesure de rétorsion ; marques rendues vulnérables car n’étant plus distribuées et contrainte d’accepter les conditions d’autres centrales d’achat…  le mantra des enseignes étant d’être moins cher que les concurrents.

 

 

Si rien n’est fait pour que tout le monde puisse regagner sa vie décemment, ces pratiques ne cesseront jamais. Avec les conséquences que l’on sait  sur les structures de production, notamment dans le monde agricole. Il est urgent que Région, État et Europe protègent ensemble  leurs agriculteurs. 

 

 

08/06/2017

Prix du lait trop bas, à Guingamp

les éleveurs  passent à l’action !

Le lait est le symbole du dysfonctionnement des marchés des matières premières agricoles, or il est aussi avec le porc, le symbole de l’agriculture bretonne. C’est pourquoi, devant le désarroi et la détresse des producteurs de lait qui ne dégagent qu’une moyenne de revenus inférieurs  à 400€ par mois, Mona Bras était présente parmi les éleveurs qui menaient l’action de blocage de la laiterie Entremont-Sodiall  de Guingamp et leurs apportait le soutien de la Région Bretagne et de son vice-président à l’agriculture et à l’agro-alimentaire Olivier Allain.

 

À l’appel de la FDSEA, des agriculteurs bloquent par des tracteurs,depuis ce mardi après-midi,  les accès de l’usine Sodiaal de Guingamp :  les camions de collecte de lait pouvaient entrer sur le site, mais aucun produit n’était  autorisé à sortir de l’usine.
Les éleveurs  demandent une revalorisation de 4 centimes du prix du lait actuellement fixé à environ 30 centimes le litre. Un montant « largement insuffisant. Il faudrait au minimum 34 centimes pour couvrir toutes les charges . Aujourd’hui, c’est une urgence vitale pour les agriculteurs, il faut que le prix du lait remonte rapidement » selon  Didier Lucas, président de la FDSEA des Côtes-d’Armor.

Les agriculteurs attendent des annonces de la part de la direction du site mais également des politiques, pour notamment obtenir des mesures européennes permettant une meilleure rémunération de la production laitière.

Si rien n’est fait rapidement, la crise de 2015 faisant encore des dégâts, entre 20 et 30 % des producteurs de la filière pourraient disparaître, ce qui serait une catastrophe pour les Côtes d’Armor et le monde rural.

Mona Bras était sur place en compagnie des producteurs.

 

Déjà le mardi 30 mai, plus de 70 producteurs laitiers en colère s’étaient invités à la session de la chambre régionale à Plérin pour interpeller les représentants des coopératives laitières sur le prix du lait. En effet, en  2016, les résultats financiers des transformateurs, « notamment coopératifs, ont été importants, pour ne pas dire scandaleux » quand les producteurs sont dans la « détresse« , avaient-ils alors souligné. cette action n’avait pas fait bouger les choses d’où l’action de blocage de la laiterie pour au moins 48 heures.

 

 

 

08/06/2017

ASSEMBLEE GENERALE DE SOLIHA

Mona Bras était présente à l’ AG de Soliha 22, à Plouec du Trieux.

Quelques photos de l’ événement:

à gauche, Mr Yvon Bihannic , maire de Runan ; au centre, Mona Bras ; à droite Didier Vilain, ancien directeur de l’EPFR (Etablissement public foncier de Bretagne) aujourd’hui administrateur de SOLIHA22.

 

de gauche à droite  :

Anne-Françoise Piédallu, maire de Plougrescant et présidente sortante de SOLIHA22

– Philippe Coulau, président du SCOT du Pays de Guingamp et vice-président à la Gestion durable des espaces et la planification territoriale

– Vincent Le Meaux, maire de Plouec du Trieux et président de Guingamp-Paimpol-Armor-Argoat Agglomération

– Mona Bras, adjointe au maire de Guingamp, référente emploi-formation du Pays de Guingamp et conseillère régionale

– Maryse Raoult nouvelle président de SOLIHA22, ancienne maire de Plédran et vice-présidente au logement à St-Brieuc Agglomération

– Philippe Morice, directeur de SOLIHA22

– Yvon Bihannic  maire de Runan

Jean-Luc Le Palanton premier adjoint au maire de Plouec du Trieux

-Yannick Bouget maire de St-Clet

Joël Philippe, élu municipal de Tonquédec qui succède à Vincent le Meaux au poste de Conseiller départemental.

 

En savoir plus  : Soliha 22 – Côtes d’Armor : Solidaires pour l’habitat

 

 

6/6/2017

LAND  ART,  MÉDIATION   ET   GRAFFITIS  AU BOIS  DE  KERGRE 

Le samedi 3 juin 2017 Mona BRAS participait à l’inauguration de la nouvelle exposition en plein air des œuvres de l’artiste graffeur Averi, mêlant avec bonheur street art et land art, exposées sur le parcours artistique du bois de Kergré en Ploumagoar. L’artiste était en résidence à Ploumagoar du 27 mars au 7 avril et avait effectué un travail de médiation très apprécié  auprès des jeunes scolaires dont malheureusement les réalisations ont été vandalisées…

                                      Les élèves devant une de leurs œuvres vandalisées !

http://www.ville-ploumagoar.fr/evenements/315-kergre-un-nouvel-artiste-en-residence

Sur la photo :  Averi devant son œuvre  intitulée « Mask-koat », représentant l’esprit de la forêt, perchée dans les hauteur d’un arbre de ce site naturel classé par la LPO. Le parcours le plus long, 10 kilomètres, s’appelle d’ailleurs le chemin de la hulotte.

Averi est un artiste graffeur (dont le mode d’expression artistique et esthétique est le graffiti) originaire de Saint-Brieuc. Il créé et réalise des graffitis depuis 1990 et participe, par des expositions ou des performances,  à des évènements tels qu’Art Rock, les Vieilles Charrues, les Journées européennes du Patrimoine, Technopolis,  Electro graff, Safety Art, …

Site web : https://www.facebook.com/MrAveri/

Blog  : http://www.trustinmyart.org/artistes/averi.htm

 

 

 

 

 

22/05/17

TERRALIES 2017

Mona Bras représentait la Région au salon Terralies 2017, qui se déroulait les 19, 20 et 21 mai dernier à Saint-Brieuc.

L’an dernier, ce sont près de 21 000 visiteurs qui ont parcouru les 30 000 m² d’exposition du salon. Avec ses 150 stands et ses nombreuses animations, Terralies est un rendez-vous majeur du monde agricole breton et un événement très attendu par le grand public. 

Sur le ring, une équipe de jeunes Bretons et Tunisiens pour des démonstrations de « clippage » de vaches (tonte préparatoire à la présentation des animaux au concours) en compagnie de Luc VATTIN directeur du lycée agricole public de Kernilien (Guingamp)  et Mona BRAS, présidente du Conseil d’administration du lycée. Photo: Chokri ZOUABI.

 

 

21/05/17

SALON DU LIVRE « MEMOIRE ET HISTOIRE AU MUSEE DE LA RESISTANCE DE SAINT-CONNAN

Notre élue du Groupe des Régionalistes Mona Bras était présente lors de l’ inauguration du Salon du livre « Mémoire et Histoire », au Musée de la Résistance de Saint-Connan, musée subventionné par la Région Bretagne.

La voici en compagnie d’ Isabelle Le Boulanger, historienne, et de Fabienne Juhel, auteure de romans.

 

19/05/17

Au lycée Pavie de Guingamp, le dispositif KARTA permet l’accès à la diversité des expressions culturelles.
Le  16 mai 2017, le  lycée Pavie de Guingamp  recevait la vice-présidente aux lycées de la Région. Le lycée Pavie se classe en effet  parmi les meilleurs de Bretagne en termes de projets Karta, tant en quantité qu’en qualité. Menés par des enseignants enthousiastes, soutenus par une direction attentive au fait d’apporter une réelle plus-value aux lycéens du secteur ; ces projets Karta financés par la Région Bretagne se construisent, pour le lycée Pavie,  en lien avec la directrice du pôle culture-patrimoines de la Ville de Guingamp, la directrice du service culture du Pays de Guingamp, et des associations du territoire telles que la compagnie de danse contemporaine Grégoire and Co et le centre d’art visuel Gwin Zegal.

 

Article du Ouest-France:

Guingamp. Le lycée Auguste Pavie tend les bras à la culture

            Mona Bras, conseillère régionale, Isabelle Pellerin, vice-présidente de la Région en charge des lycées et Sylvie Argat-Bouriot, conseillère régionale ont rencontré les lycéens d’Auguste Pavie. | Ouest-France

Dans le cadre du dispositif régional Karta, le lycée guingampais a mis en place 16 projets à vocation culturelle, hors programme, sur l’ensemble de l’année scolaire.

Alexandre BERGALASSE.

Le lycée Auguste Pavie a mis en place 16 projets éducatifs, à dominance culturelle, durant une année. « Il faut donner le goût de la culture aux élèves, expose Joseph Rault, professeur de français et référent culturel. Ils n’iront pas voir une pièce de théâtre d’eux-mêmes. »

Ces projets, de l’accueil de résidences de troupes de théâtre, aux spectacles de danse contemporaine en passant par des échanges internationaux (à Copenhague et à Prato, en Italie), ont été soutenus financièrement par la Région, à hauteur de 12 500 €, dans le cadre du dispositif Karta.

« Il y a une vraie dynamique dans ce genre de projets, note Isabelle Pellerin, vice-présidente de la Région en charge des lycées. Ils ont impact sur les jeunes au niveau du travail d’équipe, de l’interaction avec d’autres publics… Cela peut permettre de déclencher l’envie d’écrire ou de danser. »

« Une pédagogie différente »

Cette année, la romancière Paola Pigani, venue parler de son roman « Venus d’ailleurs », sur la thématique des conditions de vie des migrants.

« Nous avons pu découvrir l’envers du décor de l’écriture d’un roman, le déroulement. Ce n’est pas comme un cours un classique, on retient mieux », lance une élève en section littéraire.

« C’était facile d’échanger avec elle, nous avons pu avoir un autre point de vue sur l’immigration, différent de celui que l’on retrouve partout dans les médias », ajoute une de ses camarades.

Au travers de certaines activités, comme la sortie à l’Abbaye de Daoulas dans le Finistère, les équipes pédagogiques ont voulu toucher au-delà des lycéens. « Nous voulions aussi impliquer les BTS, qui ne sont pas tous issus du lycée », précise Joseph Rault.

Tout cela met en lumière « une pédagogie différente », selon Isabelle Pellerin, Mona Bras et Sylvie Argat-Bouriot, conseillères régionales, venues à la rencontre des élèves.

 

 

2/03/17

OPEN INTERNATIONAL D’ ECHECS DE GUINGAMP

L’ élue du groupe des Régionalistes Mona Bras représentait la Région lors de la remise des prix à l’ Open international d’ échecs de Guingamp, remporté cette année par le Grand Maître international M. S. Thej Kumar, jeune Indien de 32 ans.

 

 

 

28/02/17 – MONA BRAS EST KALON!

Depuis le 25 février, notre élue régionaliste Mona Bras est actionnaire populaire de l’ En Avant de Guingamp, avec l’ opération « Kalon », qui permet aux supporters d’ acheter désormais des actions au club.

 

 

31/01/17 – Opération des producteurs de lait « Faire France » du Pays de Guingamp à la supérette Lidl.

Samedi 28 janvier , avait lieu l’ opération des producteurs de lait « Faire France » du Pays de Guingamp, à la supérette Lidl. L’ élue du groupe des Régionalistes Mona Bras a rencontré les trois agricultrices dont elle défend le savoir-faire et le savoir-produire du lait de qualité dans l’ ensemble des territoires bretons.